
D’ailleurs,
le maire, Marc Bureau, et quelques conseillers municipaux ont fait un voyage à
Copenhague pour le congrès mondial Velo-City 2010. Ils ont donc eu l’occasion
de constater sur place ce à quoi une
métropole avec une part modale du vélo de 40% ressemble.
Le
danger d’adopter un objectif si modeste, c’est de s’asseoir sur ses lauriers.
Par exemple, le plan sur le vélo de l’ex maire de Montréal Gérald Tremblay
visait une augmentation de 50% de la part modale du vélo (en somme,
sensiblement la même chose que le plan Gatinois). Or année après années, le
nombre de kilomètres de voies cyclables construites équivalait au mieux à la moitié
de l’objectif fixé.
Pendant
ce temps, dans une galaxie loin de chez vous (euh, au Danemark), l’objectif de
la ville de Copenhague est d’augmenter la part modale à 50%
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